Teaser Chapitre 23

Et oui, je sais, je suis un peu plus longue qu'habituellement pour écrire des chapitres, mais bon, une licence, ça se fête non?? lol En attendant que je vous publie le chapitre entier, je vous laisse découvrir les premières lignes du chapitre 23, bonne lecture!

Je venais de faire la chose la plus importante de toute ma vie.  Je venais de me marier. J’étais un homme marié et j’étais heureux. J’étais l’homme le plus heureux de la Terre, c’était une certitude. Aucun homme au monde ne pouvait être aussi heureux que je l’étais. On dit souvent que le mariage nous enchaîne, mais j’étais persuadé que le mariage avec Bella allait m’apporter plus de joie que je ne pourrais en connaître. Faire d’elle ma femme, c’était m’assurer que nous allions vivre ensemble jusqu’à la fin des temps. Et j’allais m’attacher à la rendre heureuse. Chaque seconde que Dieu m’offrirait à ses côtés serait pour moi l’occasion de faire de sa vie un rêve.

Nous étions à la réception, et je ne pouvais m’empêcher de jeter des regards en biais à cette femme, ma femme. Elle était rayonnante. Je ne l’avais jamais vu aussi heureuse, elle respirait la bonne humeur et le bonheur et au fond de moi, je savais que j’étais responsable d’une partie de ce bonheur et cela faisait de moi un homme comblé. J’avais vécu la cérémonie sur un nuage, étant présent physiquement, mais pas réellement mentalement, et ce n’est qu’au moment où elle m’avait demandé de lui répéter ce fameux «  madame Cullen » qu’à mon tour, j’avais pris conscience qu’elle était mienne pour l’éternité. Je sais qu’un être humain ne peut appartenir à personne et Bella était une femme libre, mais en un sens, ce mariage faisait qu’elle m’appartenait un peu tout de même. Elle était ma femme et aucun autre homme n’aurait le droit de poser la main sur elle.

Durant la réception, nous n’eûmes guère le temps de nous parler, il y avait toujours quelqu’un qui venait nous féliciter, parler avec nous, ou alors Carlie qui restait en permanence sur les genoux de Bella, ce qui ne me dérangeait pas, bien au contraire. Cependant, je fus heureux d’apprendre que le moment d’ouvrir le bal était arrivé. Je pris ma belle par la main et l’emmena au milieu de la piste de danse. Il ne nous fallu que quelques secondes pour nous retrouver seuls au monde.

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